La pornographie : Construction ou déconstruction de notre rapport à la sexualité

Article publié le 20 février 2018

 

L'Ecole Centrale Lyon organise des cafés éthiques pour ses élèves ingénieurs en devenir. C'est dans ce cadre que Sarah Carvallo, philosophe et responsable du café éthique, m'a sollicitée pour débattre de la pornographie avec Florian VÖROS et les étudiants.

Voici ci-dessous le compte-rendu, rédigé par Chloé PITTMAN, de ces échanges qui ont eu lieu le 6 décembre 2017.

J'apporte juste ici, une petite rectification : la pornographie ne facilite pas "la naissance de veritables désirs érotiques" bien au contraire elle réduit le champ érotique.

Thématique : La Pornographie

Problématique

La pornographie : Construction ou déconstruction de notre rapport à la sexualité ?
Intervenants
Florian Vörös
: Sociologue, Chercheur à l’université Paris VIII, Membre du comité de rédaction des revues Genre, Sexualité & Société, Poli – Politique de l’image et Porn Studies
Caroline Van Assche : Sexologue, conseillère conjugale et familiale

Définition de la pornographie

Pistes de réflexion suggérées
Dans les nœuds problématiques que nous avons esquissé gravitent de nombreuses pistes de réflexions
Dans les comportements individuels et collectifs (y compris non sexuels), la pornographie joue-t-elle un rôle dans la perpétuation, la promulgation de certaines pratiques ou inégalités de genre ?

L’accessibilité des contenus X aux plus jeunes constitue-t-elle un problème ?

Leur consommation se banalisant, la sexualité s’uniformise-t-elle ?

Pour les luttes se revendiquant du féminisme, la question de la pornographie est approchée sous deux aspect, l’un théorique, l’autre pratique : la critique de la place même de la pornographie dans notre société, ainsi que la mise en avant de contenu créés par des personnes aux sensibilités diverses, ouvert à un public plus large, avec notamment l’apparition croissante de réalisatrices de films X, revendiquant une vision différente de la pornographie.

En quoi la consommation solitaire de contenu X nous renseigne-t-elle sur l’individualisation de notre société ?

Le banalisation du X est un phénomène propre aux nouvelles génération, même si elle se révèle, paradoxalement, quelque peu tabou. Comment envisager un échange intergénérationnel sur ce sujet, avec une telle rupture comportementale ?

 Introduction des intervenants

Caroline Van Assche : je suis conseillère conjugale et sexothérapeuthe et j’ai par ailleurs une formation en psychologie clinique et pathologique. Je suis intervenue avec des adolescents usagers et des couples adultes. J’interviendrai sur ma pratique professionnelle et j’axerai plutôt mon discours sur les conséquences de la pornographie sur notre rapport au corps et notre rapport à l’autre dans la relation amoureuse.

Florian Vörös : Je suis un spécialiste des usages de la pornographie et non pas de sa production. J’ai mené une enquête sur la construction de la masculinité via la pornographie     Il y a beaucoup de mythes et de stéréotypes concernant la pornographie et ses spectateurs, qui s’inscrivent dans une histoire ancienne. En effet, au XIXe siècle, on pensait par exemple que la pornographie épuisait les forces viriles de la nation. Aujourd’hui, on a plusieurs stéréotypes sur le public de la pornographie. Celui qui visionne ces films serait en effet soit un enfant traumatisé, qui a vu ces images à son insu – or, d’après le New York Times, seule une infime minorité des 9-16 ont fait l’expérience d’une image traumatique -, soit un jeune de banlieue qui ne reconnait plus aucune autorité, qu’elle soit étatique ou parentale, soit encore un « accro au porno », un M. Tout le Monde au sein duquel réside un monstre pervers que la pornographie révèle. Ces stéréotypes constituent les personnages conceptuels du discours sur la pornographie, mais n’ont pas d’existence concrète.
La question qui se pose surtout aujourd’hui, est celle du lien entre la consommation pornographique et la violence sexuelle masculine, et je traite justement de cette question lors de mon enquête sur les usages du porno et les constructions de la masculinité (EHESS, 2015). La pornographie est effectivement présente dans le regard des hommes sur leur propre pratique sexuelle. D’une part, on observe un fantasme répandu de disponibilité féminine, associée à une domination masculine, sans que ce rapport de forces ne soit perçu comme viol. Mais en parallèle, le sexisme, le viol, sont toujours rejetés au dehors : ils sont toujours le fait d’un autre, jamais de soi. Cependant, la violence sexuelle faite aux femmes traverse toutes les classes sociales, alors même que les idées reçues véhiculées par le discours actuel sur le porno le rejettent sur des catégories spécifiques et marginalisées.

Questions aux intervenants
1. En tant que parent, quel comportement adopter face à la pornographie dans l’éducation de leurs enfants ?

Caroline Van Assche : on peut verrouiller certains accès, mais on ne peut pas tout bloquer comme la pornographie est simple d’accès.     Il s’agit surtout de se centrer sur la question de l’éducation autour de la relation hommefemme et de se demander ce que la pornographie peut apporter à l’enfant et à l’adulte qu’il est en devenir.

2. Qu’est-ce qui caractérise le contenu pornographique ?  

Florian Vörös : la pornographie est une catégorie relativement récente — elle a émergé au XIXème siècle  et répondait, au début, à l’imposition de normes de pudeur bourgeoises et d’une censure basée sur des critères moraux, hérités de l’époque napoléonienne. La catégorie “pornographie” était un instrument juridique permettant de distinguer ce qui peut se montrer en public, ou non, avant de devenir un genre filmique.  On retrouve aussi cela plus récemment, comme avec la loi X de 1975, qui accorde la responsabilité au CNC de séparer les films pornographiques de ceux qui peuvent être diffusés dans les salles de cinéma. Cependant, d’après une enquête de Damien Simonin, un film est plus catégorisé comme pornographique ou non selon de la légitimité ou du statut du réalisateur plutôt que sur son contenu.

Caroline Van Assche : d’après le Dictionnaire de la pornographie, ce que ce qui distingue l’érotisme du porno, c’est que dans l’érotisme il y a la notion d’amour et de sentiment amoureux, alors que le porno consiste en un acte sexuel sans amour.

3. Quelles sont les attentes pornographiques selon le genre et l’orientation sexuelle ? Y a-t-il une différence entre le porno hétérosexuel, gay, lesbien ?

Florian Vörös : j’ai surtout réalisé des entretiens avec hommes, quelle que soit leur orientation. Cependant, je ne remarque pas de lien évident entre les catégories d’identification sexuelle et type de porno que l’on visionne. Par exemple, une audience lesbienne s’est approprié la pornographie gay ; beaucoup de gays regardent du porno hétérosexuel et vice-versa. En effet, la pornographie répond a des désirs assez hétérogène. Néanmoins, le concept de pornographie repose sur des stéréotypes de domination sexuels et des rapports de pouvoir. En effet, les spectateurs de la pornographie ont souvent des fantasmes de puissance, mais cela n’est pas forcément lié à leur position dans les rapports de genre.

On peut citer l’exemple du porno lesbien. En effet, à ses débuts dans les années 1970, il était surtout présent dans le porno hétérosexuel en tant que girl number, mais a désormais évolué vers une pornographie réellement lesbienne et tourné vers des lesbiennes à travers une production indépendante lesbienne. Dans tous les cas, on est face à des stéréotypes et des rapports de pouvoir, mais ceux-ci sont exprimés différemment, et peuvent être parfois interrogés.

4. Quel impact peut avoir la pornographie sur notre sensibilité ? La réalité virtuelle peut-elle marquer une rupture ?

Caroline Van Assche : il faut d’abord se demander si c’est la pornographie qui appelle à la masturbation, ou si c’est un désir de masturbation qui appelle à la consommation de contenu X. Il est clair qu’une masturbation répétée peut réduire la sensibilité physique.

Florian Vörös : La pornographie est un contenu audiovisuel. La représentation du sexuel est donc réduite à la vue et l’ouïe. Richard Dyer a longtemps prôné la défense de la pornographie — homosexuelle pour son compte, mais ses propos peuvent s’appliquer d’une manière générale — en tant que genre filmique, celle-ci pouvant s’affirmer comme un art qui implique des effets corporels, donnant accès à une certaine connaissance du corps. La pornographie, comme expérience artistique, permet l’exploration du corps et de ses intensités.     La pornographie dominante est profondément hétéronormée, et même phallocentrée. Les pratiques pornographiques sont conditionnées par les désirs masculins — entendre ici le genre masculin, dans son caractère arbitraire —,  désirs d’hommes réduits à leur pénis, dont l’éjaculation marque la fin d’une scène, quelques soient les désirs des femmes présentes. Dans le porno gay, le non génital est lui aussi sexualisé : tétons, anus… Le rapport de l’homme à son propre corps y est différent. On comprend mieux la manière dont le X influence notre sensibilité : la pornographie quadrille le corps, ne sexualise que certaines parties de celui-ci.

5. Quels usages peut permettre la pornographie pour la sexothérapie ?

Caroline Van Assche : il y a plusieurs types de pornographie, et plusieurs types de patients. Il est essentiel de se demander ce que l’on peut s’autoriser selon le patient. Celle-ci permet de questionner les pratiques sexuelles, le rapport à soi, à l’autre. Mais elle offre aussi des possibilités d’exercices pour les éjaculateurs précoces. Elle peut aussi ouvrir l’imaginaire érotique d’un couple. Il s’agit là d’un moyen parmi d’autres pour ouvrir de nouvelles potentialités dans le champ des désirs. La pornographie peut être un moyen intéressant dans certains cas, mais il faut l’utiliser avec beaucoup de précaution.

6. Étudier la pornographie et ses usages peut-il altérer notre perception d’autrui ?

Florian Vörös : certaines pratiques sont considérées comme malsaines, les gays, les lesbiennes, le BDSM l’on été. Mais la catégorie du sain ou du malsain ne renvoie à rien de réel, et n’est qu’une pathologisation de la dualité normal-anormal. L’homosexualité a longtemps été considérée comme une pathologie. Chaque norme a une histoire. Le normal d’aujourd’hui, c’est une sexualité conjugale, régulière. Au XIXème, il s’agissait d’une sexualité procréatrice.     On ne peut reprocher à quelqu’un un fantasme de viol, d’inceste. La culpabilisation n’amène aucune prise de recul vis-à-vis des comportements et des désirs. Un fantasme n’a en lui-même aucune signification politique. Il faut interroger de quelle manière il s’inscrit dans des rapports de pouvoirs.

Caroline Van Assche : ces personnes dont les fantasmes sont considérés comme malsains sont en souffrance. Mieux vaut leur venir en aide plutôt que les juger malades, malsains, inhumains.

7. La pornographie peut-elle avoir un effet cathartique, permettant de prévenir certains passages à l’acte  ? Ou est-elle la source de fantasmes ?

Caroline Van Assche : au début de ma carrière, j’ai eu l’occasion de travailler avec des agresseurs sexuels, qu’ils soient passés à l’acte ou non. Ces individus souffrant de fantasmes hautement envahissants, il est largement préférable de mettre en place des stratégie d’évitement du moindre contenu pouvant stimuler ces fantasmes. Il est donc délirant de les exposer à de la pornographie, leurs fantasmes étant décuplés plutôt qu’évacués.

Florian Vörös : certaines images érotisent des rapports de pouvoir, notamment de domination masculine. Ces rapports ne sont pas catégorisés comme du viol. Ceci est le nid de la culture du viol, qui ignore le caractère forcé de certaines pratiques, qui postule le consentement d’individus qui affichent pourtant des signes souvent évidents du contraire. Ne pas questionner ces contenus pornographiques, c’est laisser floue la frontière entre le jeu de rôle érotisant le pouvoir, et le viol.

Caroline Van Assche : pour en revenir à l’effet cathartique, on peut mentionner la question de l’accès à la sexualité, notamment pour les personnes à mobilité réduite. Il serait d’ailleurs intéressant de questionner leurs attentes dans leur consommation de pornographie.

8. Les couples ayant recours à la sexothérapie ne sont-ils pas surtout mis à mal par des représentations bien trop idéalisées, que ce soit dans la pornographie, le cinéma ou la publicité ?

Caroline Van Assche : ce type de problème se pose d’abord dans l’appréciation du corps avant d’atteindre le rapport à la sexualité. Il est vrai que dans nos représentations actuelles, une certaine culture du corps parfait se dégage. Naissent donc des attentes envers son propre corps, ainsi que celui d’autrui. La pornographie n’est n’un qu’un cas particulier, en témoigne l’usage systématique de la retouche pour les photos de mannequins, pratique contre laquelle la France a pris des mesures, en imposant la mention  « photo retouchée » à toutes celles qui le sont.

Florian Vörös : étudier une norme pornographique ne peut se faire sans se demander si elle n’est pas avant tout une norme culturelle. La représentation pornographique des genres doit être contextualisée dans l’ensemble des représentations qui existent, avant de pouvoir être questionnée. Et n’oublions pas que la pornographie est multiple, hétérogène : ainsi les codes dits pornographiques sont peut-être moins universaux qu’on ne le pense souvent.  

9. Trouve-t-on dans la culture populaire des exemples de l’influence de la banalisation de la pornographie ?

Florian Vörös : le premier exemple qui me vient est celui de la culture gay. Celle-ci s’est constituée comme sous-culture, et la pornographie s’est transformée à son contact, donnant naissance à de nouveaux codes. Et ses nouveaux éléments de représentation ont inspiré des artistes gay, reprenant dans leur esthétique une certaine identité qu’a créé le porno gay. La pornographie et sa consommation se banalisent. Il est donc évident que des références culturelles y trouvent leur source, bien que le X garde encore d’une certaine manière son aura de confidentialité : la pornographie et ses codes trouvent une place nouvelle dans la culture pop, mais le rapport individuel à la pornographie reste quelque peu tabou.


Caroline Van Assche : elle a colonisé les imaginaires. Les pratiques ont tendance à se modeler suivant les stéréotypes pornographiques. Ainsi, certains jeunes - j’en ai rencontré un de 11 ans - ont été poursuivis pour viol, dans le cas de fellation forcée, alors même que dans leur esprit ceci n’était pas un acte sexuel : l’aura de tabou qui entoure encore la sexualité, et le manque d’éducation sexuelle ne permettent pas aux plus jeunes de cerner ce qui est considéré comme sexuel, et ce qui ne l’est pas. En effet, juridiquement, toute pénétration sans consentement est un viol.

Florian Vörös : La pornographie, par son manque fréquent d’empathie, son hétéronormativité, son cadrage masculin, a des influences sur les comportements. Il est essentiel que de véritables contrepoids éducatifs existent.

10. Comment le viol peut-il être désirable ?

Florian Vörös : ne confondons pas fantasmes et comportements.  Il est souvent bien difficile d’accepter, d’être à l’aise, avec ses propres fantasmes. Si le viol devient un fantasme pour quelqu’un, gardons nous bien d’imaginer qu’il désirera nécessairement passer à l’acte. Entres les genres, les violences - réelles ou symboliques - marquent notre société. On ne peut reprocher à la pornographie d’être seule responsable de la mise en scène de tels rapports de pouvoir.

Caroline Van Assche : à la différence de l’idée érotique, le fantasme n’a pas vocation à être réalisé. L’imaginaire joue un grand rôle pour passer l’un à l’autre. Or la pornographie, dans sa forme audiovisuelle, fixe bien plus les envies que la littérature érotique, qui elle ouvre la porte aux fantasmes. On peut fantasmer quelque chose sans nécessairement le vouloir. Le X actuel laisse moins la place à l’imagination, et facilite la naissance de véritables désirs érotiques.

11. Quelle place pour une pornographie plus « artistique », qui questionnerait les codes classiques du medium ?

Florian Vörös : la meilleure critique est encore la création. Cela fait déjà trente ou quarante ans qu’il existe une pornographie féministe. Encore aujourd’hui, nombre de personnes continuent de réclamer un meilleur porno, sans même prendre le temps de s’intéresser aux productions alternatives, forcément moins visibles ; ni même à celles et ceux qui œuvrent depuis l’intérieur de l’industrie, pour tenter d’apporter de nouvelles représentations.

Caroline Van Assche : la pornographie a pris une grande importance publique, offrant une place plus importante aux discours sur la sexualité en général, ce qui est une bonne chose, notamment pour que le sujet des violences sexuelles se répande.


12. Comment expliquer la perte de vitesse de la littérature érotique ?

Caroline Van Assche : ce constat n’est pas propre aux représentations érotiques ou pornographiques. La perte de puissance de l’écrit face à l’image est un phénomène général qui touche notre société.

Florian Vörös : attention à la hiérarchie culturelle, et tout particulièrement en France. L’écrit est souvent perçu comme plus distingué, notamment par une classe sociale bourgeoise lettrée. Pour rebondir sur la critique artistique, gardons nous de confondre la critique du contenu avec celle de ses modes d’expression. Un exemple significatif est 50 Nuances de Grey, dont le style est critiquable, mais dont le contenu a manifestement aidé des femmes à mieux affirmer leur sexualité.

13.  L’accès à la pornographie devrait-il être restreint pour les mineurs, voire certains adultes ?

Caroline Van Assche : il est clair que la facilité d’accès aux contenus X, couplée à un manque d’éducation sexuelle, n’est pas sans conséquences sur les plus jeunes. Ceci ouvre la porte à des cas d’agressions sexuelles juvéniles, qui pourraient être évités si les plus jeunes n’étaient pas laissés seuls, sans aucune information, devant des contenus pornographiques. Ces derniers ne jouent tout au plus que le rôle de catalyseurs, et non de sources. Les problèmes comportementaux sont à imputer à l’absence d’éducation, non au X. Remarquons aussi les difficultés de définition et de perception du consentement, qui sont exacerbées par la pornographie. Ceci devrait appeler à une véritable prise de recul sur notre manière de l’appréhender.

Florian Vörös : voilà deux cents ans que l’on essaye de limiter l’accès des plus jeunes à la pornographie.   La majorité sexuelle est fixée à quinze ans, tandis qu’un âge minimal de 18 ans est requis pour visionner du X. On peut avoir des rapports sexuels avant de regarder du porno. Il est difficile d’interroger les principaux intéressés, les enfants. D’une part, une autorisation parentale est requise. D’autre part, ceux-ci ne répondent qu’en rapport aux préoccupations adultes, sans aborder leurs propres doutes et interrogations.

Vis-à-vis des agressions sexuelles, quelque soit leur nature, rappelons la chose suivante. Il est erroné de penser que celles-ci naissent au contact de contenus X. Le flou autour du consentement touche la société entière, et découle de notre modèle essentiellement masculin et hétérosexuel. La pornographie catalyse les désirs plus qu’elle ne les crée.

 

Classé dans : Sexothérapie - Sexologie

À propos de l'auteur

Caroline Van Assche

Formée à la thérapie de Couple et de Famille à l'Institut Michel Montaigne à Bordeaux,

Formée à l'ICV (Intégration du Cycle de Vie) à l'Institut Double Hélice,


Diplômée en Psychologie Clinique et Pathologique à l'Université Bordeaux 2 Victor Segalen,


Formée au Conseil Conjugal et Familial au Planning Familial de la Région Ile de France,

Formée au Travail Psychanalytique avec les couples et les familles au Collège de Psychanalyse Groupale et Familiale de Bordeaux,
Formée à la Sexologie Clinique et Santé Publique à l'Université Paris 7 René Diderot,
Formée à la Sexologie Sexofonctionnelle à l'Université Paris 6 Pierre et Marie Curie,
Membre de L'Association Nationale des Conseillers Conjugaux et Familiaux,
Membre de L'Association Francophone de Sexologie Sexofonctionnelle.